L’accouchement peut causer de fortes perturbations dans la vie d’une femme, en raison des changements physiques, hormonaux, émotionnels et sociaux qu’il entraîne.
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Cependant, ce n’est pas toujours l’expérience idéalisée que la future mère imaginait, et il peut ne pas correspondre à ses attentes. Cependant, il est fréquent que les femmes ne ressentent pas immédiatement l’extase attendue après la naissance de leur enfant.
Le baby blues n’est pas considéré comme une dépression, mais plutôt comme un état temporaire fréquent chez les mères. C’est tout à fait normal !
Le post-partum blues
Il est fréquent que les nouvelles mères souffrent du « baby blues », également appelé post-partum blues, qui peut se manifester par des symptômes tels que l’anxiété, l’irritabilité, la labilité émotionnelle, la dysphorie, les troubles du sommeil, la fatigue et les douleurs somatiques.
Le baby blues est un état transitoire qui peut survenir entre le 2ème et le 5ème jour après l’accouchement et peut durer environ 4 à 7 jours. Cependant, il est important de comprendre que le baby blues n’est pas une dépression et n’a rien de grave ou de pathologique.
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Un évènement majeur source de stress
La grossesse est un élément clé du développement psychosexuel et de la parentalité chez les femmes et peut entraîner de profonds changements. L’arrivée d’un bébé est un événement important qui peut causer du stress pour la nouvelle mère.
Bien que le baby blues soit transitoire, il ne doit pas être ignoré. Si les symptômes persistent ou s’aggravent, il est important de consulter un professionnel de la santé. Les membres de l’entourage peuvent être choqués par les réactions émotionnelles de la nouvelle mère, mais il est important de comprendre que ce n’est pas anormal.
